Eux ils ont le Bloc Quebecois , nous on a le Black Quebecois pour nous tenir informer avec de la nouvelle qui nous concerne au Quebec !
vendredi 15 novembre 2013
vendredi 8 novembre 2013
BATAILLE CONTRE LE CRIME Manque d’argent pour lutter contre les gangs de rue ÉTIENNE LABERGE / AGENCE QMI Publié le: vendredi 08 novembre 2013, 14H48 | Mise à jour: vendredi 08 novembre 2013, 15H01

mercredi 21 août 2013
mardi 20 août 2013
dimanche 18 août 2013
jeudi 15 août 2013
lundi 12 août 2013
samedi 10 août 2013
mardi 30 juillet 2013
lundi 29 juillet 2013
lundi 22 juillet 2013
Point chaud - Tensions entre la SQ et les Innus
Des chefs autochtones réclament leur propre police après un incident impliquant un jeune Innu à La Romaine

1963 : Naissance à Unamen Shipu.
1990 : Il réalise son rêve d’enfant en intégrant la police d’Unamen Shipu, il y restera 17 ans.
2008 à 2011 : Il est élu conseiller au conseil des Innus d’Unamen Shipu.
2011 : Il devient chef de la réserve d’Unamen Shipu.
Août 2013 : Élections du conseil de bande, M. Bellefleur ne sait pas s’il va briguer un autre mandat.
Une intervention policière controversée dans la réserve d’Unamen Shipu, à La Romaine, a créé des tensions entre certains jeunes et les agents de la Sûreté du Québec (SQ) dans plusieurs communautés, ces derniers jours, mais elle a aussi ravivé un débat autour de la création et du maintien de forces de police autochtones.
Raymond Bellefleur, le chef de la réserve d’Unamen Shipu, a été policier avant d’entrer en politique, non pas au sein de la SQ, mais plutôt d’une force de police autochtone, aujourd’hui dissoute. Une semaine après la tentative d’arrestation d’un membre de sa communauté par des agents de la SQ, il veut qu’Ottawa lui donne des fonds pour recréer cette police. Mardi dernier, la mise en ligne d’une vidéo montrant deux policiers en train de tenter d’arrêter Norbert Mestenapeo, un Innu de 24 ans, a provoqué des tensions entre les jeunes de cette communauté de 1000 habitants et la SQ, explique le chef. Dans la nuit de jeudi à vendredi, des jeunes ont même érigé une barricade, à laquelle ils ont mis le feu, pour empêcher les policiers de pénétrer dans la réserve, si jamais ils devaient y effectuer une patrouille, explique M. Bellefleur. « Dans la soirée, les jeunes à l’entrée de la communauté ont fait un feu pour que la SQ ne rentre pas dans la réserve. Ils ont allumé des palettes », explique M. Bellefleur, en entrevue téléphonique avec Le Devoir. Aucune patrouille ne s’est toutefois présentée dans cette réserve située à La Romaine, cette nuit-là. La SQ a effectué ses rondes sans encombre, cette fin de semaine, selon le chef. Par ailleurs, samedi matin, une altercation est survenue parmi une trentaine de jeunes de la communauté d’Obedjiwan, en Haute-Mauricie, et des policiers de la SQ, sans faire de blessés. En entrevue avec Radio-Canada, le chef de la communauté, Christian Awashish, expliquait que la vidéo d’Unamen Shipu pourrait être à l’origine des tensions. M. Bellefleur souhaite toutefois calmer les jeunes de sa réserve. « Il va falloir que je leur parle, qu’il n’y ait pas de grabuge », explique-t-il. Mais à plus long terme, c’est au gouvernement fédéral qu’il veut parler. Sa réserve a eu une force de police autochtone entre 1996 et 2007, aux termes d’une entente tripartite entre Québec, Ottawa et son conseil de bande. Mais le gouvernement fédéral n’a pas renouvelé son financement, il y a six ans, ce qui a obligé le conseil de bande à faire appel à la SQ, dit M. Bellefleur. Depuis, il tente de recréer la force de police à laquelle il a appartenu. « La province, ils sont ouverts à ça, mais le fédéral, ils disent tout le temps qu’ils manquent d’enveloppes […] Ça nous prendrait à peu près 200 000 ou 300 000 dollars », explique-t-il. Selon lui, les policiers de la SQ ne connaissent pas la culture et encore moins la langue des Innus, ce qui peut entraîner des tensions comme il s’en est produit la semaine dernière.
Le chef de l’Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador, Ghislain Picard, a donné son soutien à M. Bellefleur, appelant Québec et surtout Ottawa à s’entendre afin de mettre sur pied des forces de police autochtones. Les ententes qui encadrent ces services policiers, financées à 52 % par le fédéral et à 48 % par le provincial, sont renouvelées en moyenne tous les deux ans. Il existe 55 communautés autochtones au Québec. Jusqu’au 31 mars dernier, la plupart d’entre elles avaient leurs propres forces de police. Toutefois, plusieurs de ces communautés ne sont plus desservies par une force de police autochtone, notamment depuis la fin d’une entente tripartite, en mars dernier. Les chefs souhaitent rencontrer Steven Blaney, le nouveau ministre fédéral de la Sécurité publique, à ce sujet.
Intervention filmée
La revendication n’est pas nouvelle, mais la vidéo de l’intervention musclée, largement diffusée sur les réseaux sociaux, l’a ravivée. Filmée depuis l’intérieur d’une automobile, elle montre les silhouettes de deux policiers qui tentent de maîtriser un jeune homme qui se débat. La vidéo est de mauvaise qualité, mais les policiers semblent asséner des coups de poing et des coups de matraque sur le corps et sur la tête du jeune homme. La SQ a ouvert une enquête interne pour comprendre les circonstances de cette tentative d’arrestation. Les policiers n’ont finalement arrêté personne lors de l’intervention. Le jeune homme s’en est tiré avec neuf points de suture à la tête, selon ses proches. Les circonstances entourant l’intervention demeurent floues, mais M. Bellefleur tire déjà des conclusions. « C’est de la brutalité policière », dit l’ancien policier. Une telle situation aurait pu être évitée si la réserve avait eu son service de police, dit-il. M. Bellefleur se souvient que les tensions étaient moindres, lorsque les policiers étaient tous Innus. « On se parlait montagnais, puis à chaque événement, on se comprenait », raconte-t-il.
Et dans une communauté où tout le monde se connaît, il lui est souvent arrivé de passer les menottes à des proches. « Même mes cousins, mes amis, je les arrêtais quand j’étais policier. […] Au début, dans la cellule, ça criait, ça sortait toutes sortes de noms, ils disaient qu’ils me haïssait », dit-il. S’il a arrêté des gens qu’il connaissait, il a aussi aidé ceux qu’ils croisent encore aujourd’hui. « Un jeune voulait se suicider. […] Le petit jeune, il est pas mort, je l’ai amené au dispensaire, il a survécu », se souvient-il. « Je le croise, puis en plus on se parle […] Je lui ai sauvé la vie en fin de compte », explique-t-il. Le jeune homme, qui est maintenant père de famille, avait mal positionné le canon de son arme et s’était blessé en tentant de se tirer une balle dans la tête. M. Bellefleur a quitté finalement la force de police en 2007, un an avant sa dissolution. Mais il est resté dans la réserve pour se faire élire conseiller de bande en 2008, puis chef en 2011. Sa communauté, qui n’est accessible que par avion ou par bateau, est défavorisée, explique-t-il. « On n’a pas de développement économique, on n’a rien, rien, même pas la mine, même pas la forêt, même pas le barrage », dit-il. La mise en place d’une force de police pourrait aussi donner quelques emplois aux nombreux jeunes de la réserve, estime-t-il.
mercredi 3 juillet 2013
vendredi 28 juin 2013
jeudi 27 juin 2013
mardi 25 juin 2013
dimanche 16 juin 2013
Black Arabia: “His Daddy was Black. His Momma was Black. So…” A ...
The Prophet Muhammad of Arabia was a pure Arab from the Banū Hāshim clan of the Quraysh tribe. Not only were the original and true Arabs black (aswad, akhḍar, udma), but the Prophet’s particular tribe and clan were famously black. As Robert F. Spencer remarks: “It is said that the Quraysh explained their short stature and dark skin by the fact that they always carefully adhered to endogamy,”[1] and Henry Lammens took notice of “les Hāśimites, famille où dominait le sang nègre” (“the Hashimites, the family where Black blood dominated”), remarking further that the Banū Hāshim are “généralement qualifies de ﺁﺪﻢ = couleur foncée” (“generally described as ādam = dark colored”).[2]
These Western observations are in complete accord with the confessions found in Classical Arabic/Islamic literature. Ibn Manẓūr (d. 1311), author of the most authoritative classical Arabic lexicon, Lisān al-‘arab, notes the opinion that the phrase aswad al-jilda, ‘black-skinned,’ idiomatically meant khāliṣ al-‘arab, “the pure Arabs,” “because the color of most of the Arabs is dark (al-udma).”[3] In other words, blackness of skin among the Arabs indicated purity of Arab ethnicity. Likewise, the famous grammarian from the century prior, Muhammad b. Barrī al-‘Adawī (d. 1193) noted that an Akhḍar or black-skinned Arab was “a pure Arab (‘arabī maḥḍ)” with a pure genealogy, “because Arabs describe their color as black (al-aswad)”[4] Al-Jaḥiẓ (d. 869), in his Fakhr al-sūdān ‘alā l-bidan, declared: “The Arabs pride themselves in (their) black color, تفخر بسواد اللون العرب(al-‘arab tafkhar bi-sawād al-lawn)”[5] Finally Al-Mubarrad (d. 898), the leading figure in the Basran grammatical tradition, took this a step further when he claimed: Read More
Black Arabia: “His Daddy was Black. His Momma was Black. So…” A ...: By Wesley Muhammad, PhD © 2013 The Prophet Muhammad of Arabia was a pure Arab from the Ban ū Hāshim clan of the Quraysh tribe. ...
samedi 15 juin 2013
mercredi 12 juin 2013
mardi 11 juin 2013
mardi 4 juin 2013
lundi 3 juin 2013
dimanche 2 juin 2013
mardi 28 mai 2013
samedi 11 mai 2013
mardi 7 mai 2013
lundi 6 mai 2013
jeudi 11 avril 2013
mercredi 10 avril 2013
vendredi 1 mars 2013
vendredi 8 février 2013
Abolition du Fond de recrutement de la police: Maria Mourani questionne ...
Naturellement , Mourani appuie inconditionnellement le profilage racial vue son affiliation avec le Parti KKKebecois ultra nationaliste et raciste !!!
Bye bye Éclipse!
« Retour au Far-West » : à en croire Le Journal de Montréal, la disparition de l’escouade ÉCLIPSE du Service de police de la ville de Montréal serait synonyme de catastrophe. Le ton donné à l’article était parfois digne d’une campagne de peur. (1)
« Le crime organisé québécois a déjà reçu son cadeau de Noël », lit-on également. Les mots de certains journalistes ne semblent pas assez forts pour souligner les conséquences désastreuses qui guetteraient la collectivité montréalaise avec la suppression de l’escouade ÉCLIPSE, dont l’obscur acronyme signifie officiellement Équipe corporative de lutte, d'intervention et de prévention des situations émergentes.
« L’escouade Éclipse est menacée », titre un article paru dans La Presse.(2)
Comme si ÉCLIPSE était une espèce animale en voie d’extinction.
Malgré son extrême laideur (méthodes musclées, profilage racial, etc.), l’escouade controversée accomplirait un travail utile pour le bien commun en harcelant d’autres formes de vie encore plus repoussantes.
Pourtant, il suffit de regarder un tant soi peu de près les chiffres officiels d’ÉCLIPSE pour s’interroger sur le réel bilan de son travail.
En 2012, ÉCLIPSE a enquêté sur 3500 personnes et en a arrêté près de 500, a rapporté le journaliste Daniel Renaud de La Presse.
En d’autres mots, les policiers d’ÉCLIPSE avaient déniché un motif d’arrestation pour seulement une interpellation sur sept. C’est donc dire que 3000 personnes se sont faits écoeurés par les flics d’ÉCLIPSE sans motif légal justifiant une arrestation.
Quand ÉCLIPSE fait une partie de pêche, force est de constater que ses filets ratissent larges.
Et la pêche de 2012 est loin d’avoir été particulièrement miraculeuse : une douzaine d’armes à feu, une dizaine d’armes blanches et sept gilets pare-balles, rapporte La Presse. Si c’est tout ce qu’ÉCLIPSE a pu saisir en procédant à 500 arrestations dans les milieux soi-disant criminalisés, alors ce n’est pas vraiment ce qu’on peut appeler la mère à boire.
Lire plusRobert F. Williams {Negroes with GUNS}
Robert Franklin Williams (February 26, 1925 – October 15, 1996) was a civil rights leader, the president of the Monroe, North Carolina NAACP chapter in the 1950s and early 1960s, and author. At a time when racial tension was high and official abuses were rampant, Williams was a key figure in promoting armed black self-defense in the United States. He and his wife left the United States in 1961 to avoid prosecution for kidnapping. A self-professed Black Nationalist and supporter of liberation, he lived in both Cuba and communist China in exile.
Williams' book Negroes with Guns (1962), published while he was in exile in Cuba, details his experience with violent racism and his disagreement with the pacifist Civil Rights Movement philosophies. Among others the book influenced Huey Newton, who founded the Black Panthers.
Williams was born in Monroe, North Carolina in 1925 to Emma C. and John L. Williams, a railroad boiler washer. His grandmother, a former slave, gave Williams the rifle with which his grandfather, a Republican campaigner and publisher of the newspaper The People's Voice, had defended himself in the hard years after Reconstruction. At the age of 11, Williams witnessed the beating and dragging of a black woman by the police officer Jesse Helms, Sr. (He was the father of future US Senator Jesse Helms.)
As a young man, Williams joined the Great Migration, traveling north for work during World War II. He witnessed race riots in Detroit in 1943, prompted by labor competition between European Americans and blacks. Drafted in 1944, he served for a year and a half in the segregated Army before returning home to Monroe.
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jeudi 7 février 2013
dimanche 13 janvier 2013
vendredi 11 janvier 2013
Un policier Americain donne des lessons de bonne conduite au SPVM !
Voici un policier américain qui décide de faire lui-même l’arrestation de deux individus , sans appeler de back up , sans commencer a leur crier dessus comme des sauvage , sans les Asperger de poivre de cayenne , sans leur sauter sur le dos pour les étrangler ou les rouer de coup de bâton , sans faire des commentaires racistes , sans frapper personne , en plus tout seul il prend lui-même la déclaration des suspects , tout cela sur l’œil vigilant de la camera , on est vraiment loin du type de police que représente le SPVM , carrément le jour et la nuit , pour la même intervention , le SPVM aurait déplacer une dizaine de chars , une vingtaine de policiers , ils auraient asperge deux ou trois personne , crée toute une scène et peut-être même tirer deux trois jeunes . Prenez notes les Marc Parent pis les Fraternités mafieuses du SPVM les Jean Loup Lapointe les Maria Mourani , les agents 728 et applaudissez un vrai policier au service du peuple , pas un mangeur de marde qui vit au crochet des contribuables !
This 30-page document is a set of four essays that focus on why they do it. Why are police sometimes brutal? Why did a nanny kill two children in her care? Why do men rape and beat women? Why do men go on murderous rampages? This set of essays answers these questions by showing how beliefs about violence lead to violent acts.
mercredi 9 janvier 2013
mardi 8 janvier 2013
500 Years Later (Documentary)
independent documentary film directed by Owen 'Alik Shahadah, written by M. K. Asante, Jr. released in 2005. It won five international film festival awards (including UNESCO 'Breaking the Chains Award'[1]) in the category of Best Documentary. 500 Years Later has received praise as well as controversy, both for the genre of the film (creative documentary), and the social-political impact of the film as it relates to race study. The film opened on February 28, 2005, at the Pan-African Awards (PAFF) and won Best Documentary at its premiere. The film made its American television premiere on August 23, 2008 on TV One (Radio One), and Ethiopian Television premiere on October 27, 2007, and Bounce TV February 08,2012. In 2010, the sequel Motherland was released. Read more
Owen Alik Shahadah is most know for directing the documentary 500 Years Later," an influential film, that explores the psycho cultural effects of slavery and colonialism in the African Diaspora. The film won 4 international awards including; Best Documentary at the Pan African (Los Angeles) and Bridgetown (Barbados) Film Festivals; Best Film at the International Black Cinema (Berlin) Film Festival; and Best International Documentary at the Harlem (New York) International Film Festival. In October of 2005, 500 Years Later was screened at the Millions More Movement. Philadelphia Weekly wrote, "When participants gathered on the National Mall in Washington, D.C., for the Millions More Movement rally last month, they also became one of the largest film audiences in history." Owen 'Alik Shahadah is also a social-historical writer who writes on the subjects such as African Kingdoms, humanity, linguistics and the Arab, African and European slave systems.
Reflections on the Legacy of Slavery: Charles Long
Maulana Karenga states that the effects of the African slave trade were "the morally monstrous destruction of human possibility involved redefining African humanity to the world, poisoning past, present and future relations with others who only know us through this stereotyping and thus damaging the truly human relations among people of today". He cites that it constituted the destruction of culture, language, religion and human possibility. Suite
Significations is a criticism of several major approaches (phenomenological, historical, theological) to the study of religion in the United States, in which the author attempts a reevaluation of some of the basic issues forming the study of religion in America, an outline of a hermeneutics of conquest and colonialism generated during the formation of the social and symbolic order called the "New World," and a critique of the categories of civil religion, innocence, and theology from the perspective of the black experience and the experience of colonized peoples.
While African Americans managed to emerge from chattel slavery and the oppressive decades that followed with great strength and resiliency, they did not emerge unscathed. Slavery produced centuries of physical, psychological and spiritual injury. Post Traumatic Slave Syndrome: America's Legacy of Enduring Injury and Healing lays the groundwork for understanding how the past has influenced the present, and opens up the discussion of how we can use the strengths we have gained to heal.
lundi 7 janvier 2013
Policiers au-dessus de la transparence

La Coalition contre la répression et les abus policiers (CRAP) s’intéresse depuis toujours à la problématique des décès aux mains de la police.
La CRAP contribue, entre autres choses, à documenter ces incidents tragiques, en particulier ceux survenus à Montréal.
Pour ce faire, de nombreuses recherches ont été effectuées dans les archives des quotidiens montréalais.
À cela s’ajoute la consultation de communiqués de presse émis par le ministère de la Sécurité publique lorsqu’une enquête policière est transférée à un autre corps policier suite à un décès aux mains de la police, permettant ainsi de découvrir des incidents passés sous silence dans les pages des grands journaux montréalais.
L’ensemble de ces recherches ont permit de répertorier pas moins de quatre-vingt-onze décès aux mains du Service de police de la ville de Montréal (SPVM) depuis 1987, ce qui comprend les décès survenus lors d’interventions policières où les policiers ont utilisés la force, les décès survenus lors de poursuites policières à haute vitesse et les décès durant la détention dans les cellules de poste de police.
Notons que ces chiffres ne sont en aucun cas définitifs, l’existence de d’autres décès de citoyens aux mains du SPVM ne pouvant être exclue, loin de là.
Par ailleurs, les informations recueillies lors de ces recherches se sont avérées insuffisantes à différents égards.
Dans plusieurs cas, on ignore à peu près tout des circonstances entourant le décès. Ainsi, les incidents n’ayant pas donné lieu à une enquête publique du coroner ou à un procès au criminel ou en déontologie policière, sont généralement sous-documentés.

Pourtant, dans certaines provinces et territoires canadiens, les coroners en chef et médecins légistes en chef sont tenus par la loi de tenir une enquête publique lorsque la personne décédée était sous la garde d’un policier au moment de sa mort. Cette obligation est en vigueur en Ontario, dans les Territoires du Nord-ouest, au Nunavut et au Yukon.
En Colombie-Britannique et en Alberta, l’enquête publique devient obligatoire lorsqu’une personne meure de façon violente sous la garde de policiers.
Au Manitoba, une enquête publique doit être tenue lorsqu’une personne décède des suites d’un acte ou d’une omission d’un policier dans l’exercice de ses fonctions.
La Loi sur la recherche des causes et circonstances des décès, qui régit le travail des coroners au Québec, ne contient aucune disposition portant spécifiquement sur les décès survenant durant la garde par des policiers, ce qui n’est pas le cas dans les autres textes législatifs encadrant l’action des coroners ou des médecins légistes en chef dans le reste du Canada.
Quant aux procès criminels pour des décès de citoyens aux mains de la police, ils sont encore plus rares. Rappelons que chaque incident où des citoyens ont été tués ou ont subis des blessures graves aux mains de la police fait l’objet d’une enquête criminelle menée par un autre corps policier que celui impliqué dans l’incident en vertu d’une politique ministérielle appelée « enquête indépendante ».
Les données du ministère de la Sécurité publique indiquent qu’il y a eu 373 « enquêtes indépendantes » depuis 1999, dont 330 étaient terminées en date du 30 juin 2012, mais que celles-ci n’ont données lieu qu’à seulement trois mises en accusation, ce qui correspond à une moyenne de moins de 1%.

Or, la pratique consistant à transférer une enquête policière à un autre corps policier suite à un décès aux mains de la police était alors vieille depuis plus de vingt ans : elle est en effet en vigueur depuis 1979 en ce qui concerne les décès de citoyens dans des postes de police, avant d’avoir été élargie, dix ans plus tard, aux décès de citoyens survenant lors d’une intervention policière.
Ce fait particulier démontre à lui seul le peu de volonté dont fait preuve le ministère responsable de toute la force constabulaire au Québec pour documenter le triste phénomène des décès de citoyens aux mains de la police.
Il faut aussi le déplorer le fait que le ministère de la Sécurité publique est devenu, avec le temps, de plus en plus avare d’information dans ses communiqués de presse annonçant la tenue « d’enquêtes indépendantes ».
Ainsi, les seules informations mentionnées dans les communiqués émis en 2012 sont la date de l’intervention policière et le nom du corps policier impliqué.* Le ministère ne se donne même pas la peine de préciser pas si l’intervention policière a donné lieu à un décès plutôt qu’à des blessures graves, ou vice-versa.
En comparaison, des communiqués de presse émis pour des motifs similaires, en 2004 ou en 2005, contenaient des informations sur les circonstances entourant l’usage de la force par les policiers, l’adresse civique devant laquelle l’intervention policière est survenue ainsi que l’heure précise où s’est déroulée celle-ci, l’âge du défunt ou de la personne blessée, l’heure précise où le décès a été constatée.
Enfin, du côté du Commissaire à la déontologie policière, une demande d’accès à l’information a permis d’obtenir des données sur le nombre de dossiers où celui-ci a procédé à une enquête déontologique sur un incident ayant également fait l’objet d’une « enquête indépendante ». Notons que le Commissaire à la déontologie policière n’a pas le pouvoir de déclencher une enquête par lui-même.

Là-dessus, un nombre encore plus petit de ces dossiers d’enquête a abouti à des citations, c’est-à-dire des mises en accusation de policiers devant le Comité de déontologie policière, lequel est un tribunal administratif spécialisé : deux citations concernant deux événements différents en 2009 et une seule citation en 2011 . Précisons que certains des dossiers ouverts durant cette période étaient encore sous enquête en date du 3 décembre 2012.Lire la suite
THE NEW JIM CROW Online documentary
The New Jim Crow is a name given to a category of race-related social and political phenomena in the United States and the name of a best selling book published by The New Press and written by Michelle Alexander, a civil rights litigator and legal scholar. Alexander deals in the book primarily with the issue of the current mass levels of incarceration (the United States, with 5% of the world's population, has 25% of the world's prisoners) and other means of societal suppression of African-American men (Latino men to a lesser degree), and the social consequences of the policies described, for the "people of color" and for the country as a whole.
According to Alexander, the majority of young black men in large American cities are "warehoused in prisons" (their labor no longer needed in the globalized economy) or, after having criminal records and labeled as "felons", are permanently trapped in a second-class status. The conventional point of view holds that discrimination has mostly ended with the Civil rights movement reforms of the 1960s. However, the U.S. criminal justice system uses the “War on Drugs” as its primary tool in the continuation of many of the traditional and new forms of discrimination.
In an article addressing the status of contemporary African Americans, Alexander said, "The clock has been turned back on racial progress in America, though scarcely anyone seems to notice. All eyes are fixed on people like Barack Obama and Oprah Winfrey who have defied the odds and achieved great power, wealth and fame". Alexander sees the masses of ordinary African Americans as being relegated to the status of a "racial caste", even though the official approach to dealing with the minorities has been redesigned, to avoid explicit use of racial attributes. According to Alexander, the forms of "racial control" evolve as required by changing political circumstances and contemporary standards, with the current "criminal justice" activities replacing the Jim Crow laws, which in turn had replaced slavery. Michelle Alexander aims to mobilize the civil rights community to move the incarceration issue to the forefront of its agenda and to provide factual information, data, arguments and reference for those interested in pursuing the issue. Her broader goal is the revamping of the prevailing mentality regarding human rights, equality and equal opportunities in America, to prevent future cyclical recurrence of racial control under changing disguise.
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--FROM THE NEW JIM CROW
As the United States celebrates the nation's "triumph over race" with the election of Barack Obama, the majority of young black men in major American cities are locked behind bars or have been labeled felons for life. Although Jim Crow laws have been wiped off the books, an astounding percentage of the African American community remains trapped in a subordinate status--much like their grandparents before them.
Legacy of Slavery: Reparations
Reparations for slavery is a proposal that some type of compensation should be provided to the descendants of enslaved people in the United States, in consideration of the coerced and uncompensated labor their ancestors performed over centuries. This compensation has been proposed in a variety of forms, from individual monetary payments to land-based compensation schemes related to independence. The idea remains highly controversial and no broad consensus exists as to how it could be implemented. There have been similar calls for reparations from some Caribbean countries and elsewhere in the African diaspora, and some African countries have called for reparations to their states for the loss of their population.
dimanche 6 janvier 2013
Slavery and Freedom in the Caribbean and Latin America
The Lesser Antilles islands of Barbados, St. Kitts, Antigua, Martinique and Guadeloupe,Saint Lucia were the first important slave societies of the Caribbean, switching to slavery by the end of the 17th century as their economies converted from tobacco to sugar production. By the middle of the 18th century, British Jamaica and French Saint-Domingue had become the largest and most brutal slave societies of the region, rivaling Brazil as a destination for enslaved Africans.
The death rates for black slaves in these islands were higher than birth rates. The decrease averaged about 3 percent per year in Jamaica and 4 percent a year in the smaller islands. The main causes for this were overwork and malnutrition. Slaves worked from sun up to sun down in harsh conditions. They were supervised under demanding masters, who gave them little medical care. Slaves also had poor living conditions and consequently they contracted many diseases. The diary of slaveowner Thomas Thistlewood of Jamaica details the extreme violence against slaves, and constitutes important historical documentation of the conditions for Caribbean slaves.
For centuries slavery made sugarcane production possible. The low level of technology made production difficult and labor intensive. At the same time, the demand for sugar was rising, particularly in Great Britain. The French colony of Saint-Domingue quickly began to out-produce all of the British islands' sugar combined. Though sugar was driven by slavery, rising costs for the British made it easier for the British abolitionists to be heard.
vendredi 4 janvier 2013
Aristide est convoqué par la justice

M. Aristide est notamment accusé par d’anciens pensionnaires de sa Fondation La Fanmi se la vi, qui recueillait des enfants des rues dans les années 90, d’avoir abusé de leur situation pour gagner de l’argent. Un autre groupe de victimes d’une arnaque de banques coopératives en 2003 accuse aussi l’ancien président d’avoir tiré des avantages personnels de cette activité, au détriment des sociétaires. Dans une lettre au chef du Parquet (commissaire du gouvernement), un avocat de l’ancien président, Me Mario Joseph, avait demandé de lui transmettre une copie des « prétendues plaintes » et indiquait que la convocation par la justice lui était parvenue tardivement, le 2 janvier. L’avocat estimait que le délai de 24 h n’avait pas permis à l’ancien président d’«organiser la logistique nécessaire pour assurer sa sécurité ». Interrogé par l’AFP, un autre avocat de M. Aristide, Me Newton Saint-Juste, a jugé la convocation « abusive ». « Elle n’a rien à voir avec le droit. C’est une démarche à motifs politiques. Le commissaire du gouvernement agit sous la dictée du pouvoir en place », a-t-il déclaré. Des unités de la police haïtienne avaient été déployées devant le tribunal où était attendu l’ancien président, alors que deux groupes de partisans et adversaires de M. Aristide manifestaient sur place sans faire de victimes. La police a tiré des gaz lacrymogènes pour disperser des centaines de partisans de l’ancien homme fort de Port-au-Prince. « Vive Aristide ! », scandaient les manifestants qui brandissaient des pancartes en faveur de l’ex-président. « Aristide doit être jugé et enfermé dans une prison », lançaient de leur côté des groupes de jeunes se présentant comme des victimes de l’ancien président. M. Aristide a effectué trois mandats écourtés à la tête d’Haïti, en 1991, de 1994 à 1996 et de 2001 à 2004. Il a regagné le pays en mars 2011 après 7 ans d’exil en Afrique du Sud.
Tel que sur Le Devoir
Saluons les femmes autochtones et leur courage
Idle No More - Des actions qui se multiplient dans le monde
Saluons les femmes autochtones et leur courage
La chef crie Theresa Spence en était jeudi à sa 24e journée de grève de la faim, symbole du mouvement de contestation Idle No More, dont l’ampleur rappelle à certains autochtones la crise d’Oka.

Dans la communauté innue de Betsiamites, au sud-ouest de Baie-Comeau, l’Attikamek Herman Niquay prépare depuis des semaines une expédition de plus de 400 kilomètres qui le mènera de Waskaganish à Attawapiskat… en traîneau à chiens.
L’homme de 41 ans a participé à quelques barricades, « à Restigouche pour soutenir les Micmacs » et, en tant que Warrior, comme avaient été nommés les combattants mohawks alignés de l’autre côté des barricades d’abord dressées contre les policiers, puis contre l’armée canadienne, pendant la crise d’Oka, en 1990.
À présent, et à l’instar de plusieurs autochtones du Canada, M. Niquay a pris la voie de l’action pacifique. Avec les six malamutes qui tireront son traîneau, il part en expédition le 15 janvier pour « sensibiliser les gens » à la cause de Mme Spence, qu’il a aussi faite sienne.
La chef crie demande de rencontrer le premier ministre Stephen Harper et le gouverneur général David Johnston afin de faire respecter les droits conférés aux autochtones en vertu des traités signés par le Canada et les Premières Nations. L’ampleur de ses demandes semble cependant laisser les autorités fédérales perplexes.
M. Harper n’a toujours pas rencontré Mme Spence, qui refuse par ailleurs de rencontrer le ministre des Affaires autochtones, John Duncan, car elle croit qu’il n’a pas le pouvoir de faire changer les choses.
mardi 1 janvier 2013
Montreal police chief speaks about badge no. 728
Le SPVM refuse de renvoyer le Matricule 728 , elle aura meme une promotion en travaillant maintenant en administration afin de mieux pouvoir falsifier les dossiers !!!
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Dj Boogy's Blog: Some Random and Not So RandomThings I Remember fro...: At the end of each year all of us have things we can and should reflect upon. We assess all that has happened and make promises to build ...
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