Eux ils ont le Bloc Quebecois , nous on a le Black Quebecois pour nous tenir informer avec de la nouvelle qui nous concerne au Quebec !
mercredi 23 juillet 2014
mardi 22 juillet 2014
lundi 19 mai 2014
dimanche 18 mai 2014
jeudi 15 mai 2014
lundi 5 mai 2014
dimanche 4 mai 2014
mardi 8 avril 2014
samedi 8 mars 2014
Office of the Correctional Investigator
A Case Study of Diversity in Corrections:
The Black Inmate Experience in Federal Penitentiaries
Final Report
TABLE OF CONTENTS
INTRODUCTION AND SCOPE OF THE INVESTIGATION
1. The face of Canadian corrections is changing. As the Canadian population has become increasingly diverse so too has the federal offender population. The visible minority1offender population (community and incarcerated) has increased over the past 5 years by 40%. Visible minorities now constitute 18% of the total federally sentenced offender population (those incarcerated and in the community) which is largely consistent with representation rates in Canadian society (19.1%)2. In 2011/12, Caucasians continued to make up the largest proportion of the federal offender population (62.3%). By comparison, Aboriginals represented 19.3%, Blacks 8.6%, Asians3 5.4%, and Hispanics4 0.9% of the population respectively5. Increasing diversity presents important challenges for the Correctional Service of Canada (CSC), particularly with respect to the relevancy of programs and services as well as representative hiring and the need for greater staff cultural competence, awareness and sensitivity.
2. Prejudice and bias, particularly with respect to Aboriginal peoples, have been well documented in studies and inquiries of the Canadian criminal justice system6. However, little Canadian research has systematically explored the treatment of visible minorities within the criminal justice system and even less so on their experiences in correctional facilities, primarily because of the lack of or limited access to data. The principal Canadian study in this field, conducted by The Commission on Systemic Racism in the Ontario Criminal Justice System7, examined the extent to which criminal justice practices, procedures and policies in the police, courts and correctional institutions in Ontario reflected systemic racism. Overall, the Commission found evidence of systemic racism within each of the components of the criminal justice system and made a number of recommendations to improve its accountability. Specifically, with respect to correctional institutions, the Commission found evidence of pervasive racial hostility and intolerance within prison environments, racial segregation of inmates within and among prisons and racial inequality in regards to the delivery of institutional services. While this study is now dated and was conducted in provincial institutions in only one province, it provides important contextual information, both from a qualitative and quantitative perspective, on the experiences of Black inmates8 and visible minorities more generally, within the Canadian criminal justice system and provides a foundation for the present case study.
3. The 2011/12 Annual Report of the Office of the Correctional Investigator (OCI) identified Black9 inmates as one of the fastest growing sub-populations in federal corrections. It highlighted the increasing over-representation of this group relative to their proportion within the Canadian population. Over the last 10 years, the number of federally incarcerated Black inmates has increased by 75% (767 Black inmates in 2002/03 to 1340 Black inmates in 2011/12) with most of this increase occurring in the last 6 years (2006/07 to 2011/12)10. Black inmates now account for 9.3%11 of the total federal prison population (up from 6.1% in 2002/03) while representing approximately just 2.9%12 of the Canadian population (see diagram)
Les Anglo-Québécois, une minorité ostracisée?
Un récent sondage CBC-Ekos faisait ressortir que la moitié des non-francophones du Québec ont sérieusement songé à quitter le Québec lors de la dernière année. Sur le plan statistique, le départ des anglophones du Québec vers d’autres provinces n’est pas un phénomène nouveau. Il s’est amorcé après la Première Guerre mondiale, s’est constamment maintenu et a connu un pic avec l’élection du Parti québécois en 1976. Par ailleurs, et même si les individus de langue maternelle anglaise représentent aujourd’hui moins de 8 % de la population, on ne peut vraiment pas dire qu’au Québec, l’anglais est absent de l’espace public, surtout à Montréal, où l’anglicisation est significative, et qu’il n’est pas attrayant auprès de l’immigration.
Ce type de sondage sur l’humeur anglophone du Québec n’est pas nouveau et il revient ponctuellement dans l’actualité. Des sondages similaires, mais effectués cette fois-là chez les francophones hors Québec n’existent pas. Pourtant, il serait intéressant de pouvoir comparer même si on imagine que les résultats obtenus seraient probablement fort différents… Mais voilà !, on se préoccupe peu de l’humeur de la francophonie hors Québec. Revenons donc à notre sondage. La minorité anglophone du Québec joue bien son rôle de minorité ostracisée, et c’est pourquoi le sondage CBC-Ekos s’adresse aussi aux Québécois francophones. Il cible en effet le sentiment de culpabilité qui est entretenu au sein de la majorité francophone qui, sait-on jamais, voudrait renforcer la promotion du français au Québec (surtout si elle songe à élire un gouvernement souverainiste). Déjà, on le voit dans les médias, quelques francophones se disent horrifiés des résultats du sondage et appellent à l’accommodement linguistique.Bon il est évident
que M. Braën n’a pas consulter aucun anglophones sur les raisons
qui les pousseraient à quitter le Québec et que son analyse des chiffres
manquent d’observations sur le terrain , ce qui lui fait écrire que selon lui se
problème de vouloir quitter le Québec ne se limite qu’aux anglophones quand
plus de 70% des immigrants francophones quitteront le Québec a l’intérieur d’une
période de cinq ans .
samedi 1 février 2014
Chanson du Carnaval: Carnaval Mardi Gras (nouvelle version)
Sur font de musique festive reggae , la ville de Quebec fait le lancement de son Carnaval à
travers un collectif d’artistes comptant parmis eux la chanteuse Melissa Bedard et le rappeur Webster …
travers un collectif d’artistes comptant parmis eux la chanteuse Melissa Bedard et le rappeur Webster …
Frank Mackey le grand défenseur des esclavagistes du Bas Canada !
Quand j’ai
lu le journal le Metro aujourd’hui je pensait qu’on était le 1er Avril , mais
non on était bien le premier février 2014 et en première page on parle d’un Montréal
esclavagiste … pratiquement un oasis pour les esclaves tellement ils étaient
bien traites selon ledit historien Frank Mackay . Son nom personnellement ne me
dit rien , moi , pourtant un fervent lecteur de cette histoire , je vais
surement consulter son ouvrage pour vous en donnez un compte rendu .
On peut déjà
voir dans ses propos un manque flagrant de recherches scientifiques et en même
temps d’un vouloir absolue de minimiser l’impact de l’esclavage au Bas Canada .
Il ne fera aucune , mais aucune allusion au code noire , livre de loi qui régissait
l’esclavage dans les colonies française en Amérique du Nord . Il passera sous
le silence le passage et la contribution de Mathieu d’Acosta , un esclave noir
qui a conclut l’entente pour l’arrêt des massacres systématiques des colons français
en 1608 . Naturellement il va jusqu’à nier la présence des pratiques de
tortures pratiquer par les colons français pour insister les esclaves a les obéir
, Et il passera aussi sous silence l’abolition de l’esclavage en 1838 par le régime
Britannique ce qui fit déborder le vase des Patriotes de Louis Joseph Papineau
, eux aussi esclavagistes .
Il
minimisera le nombre des esclaves a quelques centaines alors que les chiffres
officiels en compte plus de 6 milles a Montréal seulement , et en plus il
attribuera la méconnaissance de cette histoire par un manque d’intérêt a cause
que surement ce n’était pas trop grave … Il ne parlera pas du complot des
historiens nationalistes francophones du Bas Canada pour carrément effacer
cette histoire qui nous concerne directement des livres d’histoires afin de protéger
l’image du bon colon français travaillant lui-même la terre …
mais bon je vais
quand même lire son livre …
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